Poème pour Alain
Merci Alain pour la musique
De ta cafetière italienne
Ton air de bouzouki,
Ta démarche chaloupée
Ta bonne humeur du matin
Ton Rock n roll d‘avant-hier
Ton rire de poney,
Ta voix de gravier.
Merci Alain pour l’amitié.
Merci Alain pour ta créativité, ta musique, ton sens du Tempo, tes guitares Jazz
blues ou flamenco
Ton envie de flemme and co
Rôtir au soleil,
Écouter la marée,
Te marrer de ta flemme
Et retourner t’ coucher.
Tes drôles d’envie de pizza,
D’écouter la chevêchette,
D’inventer les p’tites gâchettes,
Planter tes tomates à mille mètres,
De marcher dans la neige, de nager sur le lac.
De jouer les Aziz, les Jimi, les Hendrix.
De voler au violon, ou de toute autre façon
En parapluie qui s’équilibre
Sur la farce d’un jet d’eau.
Tu parles d’une occupation.
Mais la musique mon cher Alain, la musique…
Au chapiteau on t’entendait jouer
Rien qu’à regarder
Tes guitares
En coulisses,
Suspendues
À des fils
Comme des notes de musiques
Merci pour le clown, l’acteur et l’ami. Mrrrrrciiii.
Enfin mon vieil Alain, merci pour tous ces ans ensemble à tricoter notre vie, à essayer le formidable, le juste, le possible, à trouver l’impossible.
À jouer ensemble à vivre, à aimer, à construire, à comprendre, à supporter, à douter, à apprendre, à aimer, à aimer, à aimer.
Embrasse Robert, faites bien les cons, et Greg et tous les autres. Montez un chapiteau, une bonne scène, une sono.
Apprivoisez quelques nuages,
Amusez les étoiles, allumez des soleils. Préparez le terrain pour le rire et les chansons.
On finira bien par arriver de toute façon.
De ta cafetière italienne
Ton air de bouzouki,
Ta démarche chaloupée
Ta bonne humeur du matin
Ton Rock n roll d‘avant-hier
Ton rire de poney,
Ta voix de gravier.
Merci Alain pour l’amitié.
Merci Alain pour ta créativité, ta musique, ton sens du Tempo, tes guitares Jazz
blues ou flamenco
Ton envie de flemme and co
Rôtir au soleil,
Écouter la marée,
Te marrer de ta flemme
Et retourner t’ coucher.
Tes drôles d’envie de pizza,
D’écouter la chevêchette,
D’inventer les p’tites gâchettes,
Planter tes tomates à mille mètres,
De marcher dans la neige, de nager sur le lac.
De jouer les Aziz, les Jimi, les Hendrix.
De voler au violon, ou de toute autre façon
En parapluie qui s’équilibre
Sur la farce d’un jet d’eau.
Tu parles d’une occupation.
Mais la musique mon cher Alain, la musique…
Au chapiteau on t’entendait jouer
Rien qu’à regarder
Tes guitares
En coulisses,
Suspendues
À des fils
Comme des notes de musiques
Merci pour le clown, l’acteur et l’ami. Mrrrrrciiii.
Enfin mon vieil Alain, merci pour tous ces ans ensemble à tricoter notre vie, à essayer le formidable, le juste, le possible, à trouver l’impossible.
À jouer ensemble à vivre, à aimer, à construire, à comprendre, à supporter, à douter, à apprendre, à aimer, à aimer, à aimer.
Embrasse Robert, faites bien les cons, et Greg et tous les autres. Montez un chapiteau, une bonne scène, une sono.
Apprivoisez quelques nuages,
Amusez les étoiles, allumez des soleils. Préparez le terrain pour le rire et les chansons.
On finira bien par arriver de toute façon.
Bernard Kudlak
Lu le 17/12/2016 en hommage à notre ami Alain Mallet, artiste et musicien du Cirque Plume pendant 27 ans qui nous a quittés le 14/12/2016